Tout près du village suisse, au bout d’une longue allée de cerisiers et de groseilliers, étaient disposés des bancs et une table de gazon qu’on avait entourés de treillages et couvert de chaume. L’ensemble formait comme une sorte de tonnelle. C’était ce que l’on appelait « l’Hermitage », parce que cet endroit, environné de bois, semblait suffisamment écarté pour en faire un lieu de solitude digne d’un hermite.
Il n’avait rien de comparable, on le conçoit, avec celui que l’on voyait à Ermenonville.