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La Hiérarchie Catholique par Fernand MenigozBtn retour

 

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Le haut clergé

Le haut clergé est un phénomène connu dans toutes les religions qu'elles soient ou non monothéistes. Une étude comparatiste intéressante pourrait élucider :

Le mode de désignation de ses membres (élection, cooptation, révélation).
Le mode de succession des responsables.
La proximité et les relations avec le pouvoir politique.

Pape
Le
pape est l'évêque de Rome et le chef de l'Église catholique. Il est élu, après le décès ou la démission de son prédécesseur, par des cardinaux électeurs qui se réunissent en conclave pour délibérer et voter. L'autorité du pape dans l'Église se transmet par succession depuis l'apôtre saint Pierre, lui-même l'ayant reçue directement de Jésus-Christ. Cependant, la façon de concevoir et d'exercer cette autorité a évolué au cours des siècles. Le titre de pape apparaît dans des documents à partir du premier concile de Nicée en 325.

Cardinal
Un
cardinal est un haut dignitaire de l'Église catholique choisi par le pape et chargé de l'assister. Il fait partie du Collège des cardinaux (anciennement appelé Sacré Collège, jusqu'en 1983). Le titre précis est cardinal de la Sainte Église romaine ; les cardinaux forment la plus haute sphère de l'Église romaine.
L'insigne distinctif des cardinaux est la couleur rouge (dite
pourpre cardinalice), couleur du sénat romain, rappelant le sang versé par le Christ. C'est le pape Innocent IV, lors du premier concile de Lyon en 1245 qui donna la pourpre et le chapeau rouge aux cardinaux.
Ils portent soit la soutane rouge avec une barrette ou une calotte rouge et une mozette rouge, soit une soutane et une mozette noires avec des liserés et des boutons rouges.
Les cardinaux portent l'anneau, qui traditionnellement est de saphir et, même s'ils n'ont pas reçu la consécration épiscopale, ils utilisent la croix pectorale, la crosse et la mitre.

Archevêque
Un
archevêque est un ministre religieux ordonné appartenant à l'ordre épiscopal, mais bénéficiant d'une primauté d'honneur sur les évêques suffragants. Il est à la tête d'une province ecclésiastique.

Archevêque et archidiocèse

En principe, l'archevêque est l'ordinaire d'une église particulière appelée archidiocèse. L'ordinaire d'un archidiocèse est dit archevêque ex officio.
Mais, d'une part, un archevêque peut n'être l'ordinaire que d'un simple diocèse ou d'une autre église particulière. Un tel archevêque est dit
archevêque ad personam.
D'autre part, un archevêque peut n'être l'ordinaire d'aucune église particulière. Un tel archevêque est dit archevêque titulaire.    

Archevêque primat
Certains archevêques métropolitains jouissent également du titre de primat, qui leur garantit une juridiction théorique sur plusieurs provinces. En France, seuls les titres de Primat des
Gaules et de Primat de Normandie, attribués respectivement aux archevêques de Lyon et de Rouen, ont gardé des prérogatives honorifiques réelles. Les autres primaties provinciales ne sont plus portées depuis les années 1960-1970.

Archevêque patriarche
Deux archevêques métropolitains jouissent du titre de patriarche : celui de Venise, en Italie, et celui de Lisbonne, au Portugal.

Archevêque titulaire
Enfin, les archevêques ou évêques titulaires sont des prélats pourvus de la dignité épiscopale, mais n'ayant aucune juridiction diocésaine. Cette dignité est souvent accordée à des membres de la Curie romaine et aux nonces apostoliques.

Evêque
Dans la hiérarchie
catholique, un évêque est un ecclésiastique qui dirige un diocèse.
Il est chargé de veiller sur son Église locale, d'assurer la liturgie, l'enseignement de la foi catholique et le service aux plus démunis. Il peut convoquer un synode diocésain pour l'aider à discerner les orientations pastorales pour son diocèse. Il est assisté dans sa tâche par des diacres et des prêtres, ou même des laïcs, dument mandatés. Ses plus proches collaborateurs étaient autrefois les archidiacres ; on les appelle aujourd'hui vicaires épiscopaux et vicaires généraux. L'évêque est également assisté de conseils presbytéraux parmi lesquels se trouve le chapitre cathédral.
Les sacrements que seuls les évêques peuvent administrer sont :

La confirmation (déléguée aux prêtres diocésains, mais l'onction est effectuée avec l'huile chrismale bénie par l'évêque).
Le sacrement de l'ordre : ordination diaconale et presbytérale, consécration épiscopale.

Il représente la continuité Apostolique, c'est le descendant des apôtres. Un diocèse en France représente généralement un département sauf exception.

Il peut-être aussi Archevêque, il dirige plusieurs diocèses en collégialité avec l'évêque du lieu.
Un évêque peut être nommé
Cardinal par le Pape. C'est un titre et une charge et il a en cas de mort du Pape à participer à l'élection du successeur.

Evêque coadjuteur
Évêque adjoint à l’évêque diocésain, ayant droit de succession.

Évêque émérite
Quand un évêque atteint 75 ans, il demande à déposer la charge de son diocèse.
Quand elle est acceptée par le pape, il devient évêque émérite.

Le bas clergé
Clergé séculier

Le clergé séculier comprend les clercs et les prêtres au service de l'Église dans le cadre de l'Église diocésaine (évêques, prêtres, diacres)

Vicaire général
Un
vicaire général (appelé aussi VG, autrefois grand-vicaire) est un clerc qui, muni du pouvoir exécutif ordinaire général, seconde un évêque diocésain ou tout autre Ordinaire ecclésiastique qui lui est équiparé, dans l’exercice de son gouvernement au sein du diocèse (ou d’une communauté de l’Église catholique). Dans un diocèse il est nécessairement prêtre.
Le vicaire général doit être prêtre, avoir au moins 30 ans et posséder un doctorat ou licence en
droit canon ou théologie, ou faire montre d’une compétence plus qu’ordinaire dans ces sciences ecclésiastiques. S’il est évêque il est également appelé « évêque auxiliaire ».

Chanoine
Un
chanoine est un membre du clergé séculier attaché au chapitre d'une église ou d'une cathédrale avec une fonction à accomplir comme l'enseignement, le secours des pauvres, la chorale, le bâtiment, etc.
Au
Haut Moyen Âge, le mot pouvait désigner certains membres du personnel laïc des églises. Aujourd'hui, il existe des chanoines religieux (séculiers ou réguliers), des chanoines laïcs et des femmes religieuses régulières (chanoinesse).

Doyen
le doyen sert d’intermédiaire entre l’autorité épiscopale et le clergé de son doyenné.
Les doyens sont élus par leurs collègues du doyenné et confirmés par l’évêque. Les doyens jouent un rôle important lors de l'installation de nouveaux curés. Quand les curés présentés par les collateurs ont été examinés par l’archidiacre et agréés par l’évêque, c’est le doyen qui les conduit dans leur paroisse, convoque les fidèles au son de la cloche et procède à leur installation. Il doit ensuite veiller sur eux, visiter les églises, les chapelles, les cimetières.
Pour les aider dans leurs fonctions, les doyens ruraux ont un ou plusieurs échevins, choisis également par les prêtres du doyenné parmi leurs collègues.
C’est encore à lui d’administrer les derniers sacrements aux prêtres de son doyenné et de les conduire à leur dernière demeure.

Archiprêtre :
Titre Honorifique accordé dans certains diocèses aux curés de chef d'arrondissement et des églises cathédrales ou anciennement cathédrales.

Curé
Le
curé est un prêtre catholique qui est chargé de la cure c'est-à-dire qu'il a « charge d'âmes » d'une paroisse Il est nommé par un évêque, dont il est le représentant et le délégué dans la paroisse. Il doit confesser et absoudre les péchés des personnes qui le souhaitent.
Les autres prêtres qui l'assistent sont nommés vicaires, ou prêtres habitués.
Le mot
curé vient du latin « chargé des âmes » des paroissiens, il doit en prendre grand soin, en avoir « cure ». Mais en français de Bretagne on utilisait un mot plus ancien et plus respectable : « Monsieur le Recteur », chargé de la « direction » de la paroisse, garant de la « rectitude » des conduites et des pensées des paroissiens. En breton, le respect pour son autorité était encore plus net : on disait mot-à-mot le « seigneur personnage ». Les recteurs bretons se comportaient effectivement en maîtres de leur paroisse ».
Un curé est donné à une paroisse où il a charge d'appliquer la pastorale de l'ordinaire du lieu c'est à dire l'Evêque. Il est donc pasteur des fidèles de sa paroisse.
Il peut être aidé par des diacres ou d'autres prêtres que l'on appelle "Vicaires".

Un curé peut aussi être Doyen c'est à dire qu'il a en charge un doyenné ce qui équivaut à plusieurs paroisses qui ont elles-mêmes un curé. Le Doyen est élu par ses pairs.
Un curé peut-être aussi
"Vicaire Apostolique". Il est un des bras de l'Evêque, il assume la direction d'un Vicariat ou d'un secteur. Il est le représentant de l'Evêque vers les curés, les prêtres et les diacres.
 Un curé ou un prêtre peut être «
Vicaire Général". C'est le bras droit de l'Evêque et son remplaçant temporaire en cas de départ de l'évêque du lieu.

Recteur prêtre
Dans la
religion catholique, un recteur est un clerc qui a la responsabilité d'une basilique comme la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, de sanctuaires comme les sanctuaires de Lourdes, ou encore d'un établissement d'enseignement.
Dans certaines régions, notamment en
Bretagne, c'est le titre usuel donné au curé d'une paroisse1. « En français, on dit « Monsieur le Curé », qui vient du latin curatus animarum : « chargé des âmes » des paroissiens), il doit en prendre grand soin, en avoir « cure ». Mais en français de Bretagne on utilisait un mot plus ancien et plus respectable : « Monsieur le Recteur », chargé de la « direction » de la paroisse, garant de la « rectitude » des conduites et des pensées des paroissiens.

Chapelain prêtre
Dans l'
Église catholique, un chapelain, ou aumônier, est un prêtre chargé d'une chapelle ou d'une « paroisse personnelle » : maison noble, couvent ou monastère, communauté linguistique, institution particulière (école, hôpital, prison, etc.), mouvement religieux ou de jeunesse, unité militaire, etc. Il n'administre pas de territoire géographiquement déterminé et il lui est interdit d'intervenir dans le gouvernement ou administration de l'institution ou mouvement où il assume son ministère sacerdotal. Sa responsabilité se limitant aux besoins spirituels et pastoraux des fidèles dont il a la charge.

Aumônier
L'
aumônier est un personnage ecclésiastique, chargé, d'une part, de distribuer l'aumône aux pauvres, et d'autre part, d'assurer les services liturgiques. France, le titre d'aumônier est également donné de nos jours à des laïcs chargés d'une mission pastorale : aumôniers laïcs de lycée, d'hôpital, de prison, ou aumôniers militaires.

Abbé 

Un abbé, du latin abbas, est tout d'abord un moine chrétien élu par ses pairs pour diriger un monastère, une abbaye ou une communauté canoniale. Il s'agit là de celui qui dirige une communauté régulière. L'image de l'abbé, comme « représentant du Christ » et « père de la communauté » est très largement influencée par la règle de Saint-Benoît (chap. 2). Le terme peut désigner aussi un abbé séculier. Par extension, il s'applique également aux dirigeants de communautés monastiques d'autres traditions religieuses telles que le bouddhisme.

Abbé régulier 

Anciennement, les abbés réguliers devaient avoir au moins vingt-trois ans (vingt-cinq s'ils étaient électifs), être de naissance légitime, avoir fait profession dans l'ordre. Aujourd'hui, ils doivent généralement, pour pouvoir être élus, être prêtre et avoir fait profession religieuse perpétuelle (ou vœux solennels) depuis sept ans. Ils administrent le temporel du monastère, reçoivent les religieux lors de leur profession solennelle, leur donnent la tonsure. Autrefois, ils leur conféraient les bénéfices dont le monastère avait la collation. Ils ont sur leurs religieux un droit de juridiction, une autorité qu'il leur est recommandé de n'exercer que par la voie de la patience et de la douceur. Les moines le désignent généralement sous le nom de « père abbé ». Sa titulature est Très Révérend Père (TRP).
Un religieux a contre les éventuels abus de pouvoir de son supérieur un droit d'appel auprès du procureur général de l'ordre, et jusqu'au
Saint-Siège.

Abbé mitré 

Ce terme désigne un abbé, dont le pouvoir d'ordre et de juridiction a été solennellement reconnu par la bénédiction abbatiale conférée par un évêque mandaté par le Saint-Siège. L’abbé élu obtient alors le droit de porter certains insignes épiscopaux : mitre (d’où son nom), crosse (insigne de juridiction, pasteur) et anneau (lien avec l’Église). À noter que les abbés mitrés, qui ont eu la bénédiction abbatiale, peuvent célébrer une messe pontificale comme un évêque sacré.

Abbé nullius diœceseis

Un abbé nullius est un abbé mitré qui a en outre la juridiction épiscopale sur un territoire. Un exemple aussi célèbre qu'exceptionnel est celui d'Héloïse. Cette pratique, autrefois courante dans les pays de mission dans lesquels l'abbaye était la seule présence ecclésiale, est tombée en désuétude depuis le Concile Vatican II, en faveur de l'érection de nouveaux diocèses. Il reste aujourd'hui onze abbayes territoriales.

Abbé laïc
Les
carolingiens créèrent des abbés laïcs : laïcs titulaires de droits sur une abbaye, et qui ne sont donc pas des religieux. Par exemple, Guillaume le Pieux l'est de la Basilique Saint-Julien de Brioude. Hugues Capet fut abbé laïc des abbayes de Saint-Martin de Tours et Saint-Denis. Il doit d'ailleurs son surnom à la chape d’abbé qu’il portait fréquemment. Pour des raisons similaires, l’oncle maternel de son grand-père (Robert Ier) était dénommé Hugues l’Abbé. Lorsqu’un abbé laïc était nommé dans une abbaye, celle-ci était en fait dirigée par le prévôt.
Les abbés laïcs ont toutefois disparu depuis les réformes du
concile de Trente.

Abbé commendataire 

Les abbés commendataires formaient un système semblable aux abbés laïcs : François Ier, après le concordat de Bologne de 1516 établit ce système en France. Les abbés commendataires ont possédé la plupart des abbayes françaises jusqu’en 1790.

Abbesse 

Équivalent féminin des abbés, les abbesses ont dans leurs monastères la même autorité que les abbés dans le leur, sauf les fonctions de la prêtrise. L’abbesse de Notre-Dame-de-Jouarre, du diocèse de Meaux, eut jusqu’en 1692, date à laquelle cette prérogative lui fut retirée à la demande de Bossuet, la juridiction épiscopale sur ses religieuses. Elle l’avait aussi sur les religieux qui dépendaient de son abbaye et approuvait les prêtres pour la confession sacramentelle.

Abbé-chancelier 

Le terme abbé-chancelier est souvent abrégé en abbé ch.

Abbé séculier 

Jusqu'au XVIIIe siècle les clercs séculiers étaient appelés monsieur. Depuis, il est entré dans la coutume de les appeler abbé : c'est ainsi que les abbés de cour sont des clercs séculiers pas forcément prêtres d'ailleurs. La tonsure, signe de l'entrée dans l'état ecclésiastique, est suffisante pour cette appellation. La titulature normale de tout clerc séculier (séminariste admis, diacre ou prêtre) est monsieur l'abbé, même si certaines fonctions peuvent primer : monsieur l'abbé Vianney, curé d'Ars, est ainsi appelé par ses paroissiens monsieur le curé. Depuis les années 1970, cette appellation a tendance à laisser la place, dans l'usage actuel, à l'emploi de Mon Père, ce qui est parfaitement synonyme, mais qui est restreint aux prêtres. Ce terme est ainsi employé pour les nominations décidées par l'évêque dans son diocèse ; exemple : « M. l’Abbé…. Est nommé curé /vicaire /autre(s) de… » ou bien « M. l’Abbé…. Est déchargé de ses fonctions de...... et est nommé / se retirera pour prendre sa retraite.... (/ prendra un congé / une année sabbatique) ».

Diacre
Le
diacre ( « serviteur ») est une personne ayant reçu le premier degré du sacrement de l'ordre dans l'Église catholique romaine. Alors que les prêtres, qui ont reçu le second degré du sacrement de l'ordre, sont les collaborateurs de l'évêque dans son caractère sacerdotal, le diacre est collaborateur de l'évêque dans son caractère ministériel.
Le diacre permanent.
Qui est appelé à servir le peuple de Dieu par la parole, la prière et surtout la charité, il ne sera jamais prêtre car il est généralement marié et souvent a une nombreuse famille. Il est destiné à être témoin de l'Eglise dans le monde c'est à dire le plus souvent dans son travail et ses lieux de vie. Il ne dépend que de l'Evêque mais doit s'entendre avec les prêtres et les curés pour la bonne marche de l'Eglise.
Le diacre en vue du presbytérat.
Qui lui est aussi au moment de son ordination par l'évêque appelé à servir le peuple de Dieu par la parole, la prière et surtout la charité, mais lui se destine à la prêtrise. Il est donc célibataire et le restera. Il finit ses études et son séminaire, aide généralement un curé sur une paroisse et sera ordonné prêtre l'année suivante.

Vicaire

Du latin vicarius : suppléant, assistant
Au sens habituel le mot est utilisé pour désigner, dans une paroisse, le collaborateur du curé.

Vicaire apostolique

Prélat, représentant du Saint Siège, avec les pouvoirs d’un évêque, sans en avoir le titre parce que le territoire qu’il administre (vicariat apostolique) n’est pas encore érigé en diocèse.
qui lui est équiparé, dans l’exercice de son gouvernement au sein du diocèse (ou d’une communauté de l’Église catholique). Dans un diocèse il est nécessairement prêtre.

Religieuses
Une
religieuse, moniale, ou nonne, aussi appelée « sœur » ou familièrement « bonne sœur », est une femme membre d'une communauté religieuse féminine, devant généralement obéir aux vœux de pauvreté, chasteté et obéissance. Elle choisit de consacrer sa vie au service des autres (sœur apostolique) ou de quitter la société afin de vivre une vie de prière et de contemplation (moniale ou sœur contemplative) tournée vers Dieu dans un monastère ou un couvent.
Quelques différentes congrégations :

L'ordre de l'Annonciation de la Vierge Marie (les Annonciade)
L'
ordre de l'Annonciation céleste (les Célestes)
L’
ordre du Carmel (les Carmélites)
L’
ordre des Carmélites déchaussées
L’ordre de l'Immaculée Conception
L’ordre des Pauvres Dames
L’ordre des Clarisses capucines
L’ordre de Saint-Jérôme
L’ordre de Sainte-Ursule
L’ordre de la Visitation de Sainte Marie
Les Carmélites de Saint Joseph

Moines
Un
moine, ou une moniale (« homme solitaire »), est un homme ou une femme, lié par des vœux de religion et menant, en solitaire ou en communauté, une vie essentiellement spirituelle

Quelques différents ordres

Les Bénédictins
Le Carmel
 
Les Cisterciens

Les Dominicains
Les Franciscains
Les Jésuites (ou la compagnie de Jésus)
François de Sales, Jeanne de Chantal et les visitandines
Saint Vincent de Paul, les lazaristes

Saint Augustin, les augustins
Les Communautés nouvelles
Les Lois de l'hospitalité

Le clergé séculier
Le
clergé séculier est le clergé qui vit « dans le « siècle » » au milieu des laïcs, par opposition au clergé régulier qui vit « selon une « règle » de vie » d’un ordre, d'une abbaye, d'un couvent, d'un prieuré.
Les membres du clergé séculier ont pris des engagements religieux, mais leur principale caractéristique est d'être engagés dans la vie séculière et non en communauté. Le terme clergé séculier regroupe généralement les prêtres, les chanoines, etc. .

Les églises Chrétiennes

 

 Eglises Chrétiennes 1

 

Les filiations des confessions chrétiennes

Eglises Chrétiennes 2

Eglises Chrétiennes 3